A ma façon – Haricots noirs et patates douces un peu brésiliens
C’est un paquet de haricots noirs brésiliens, feijao preto, rapporté de Rio – fin 2017, il était temps !- qui a été à l’origine de cette recette…
C’est un paquet de haricots noirs brésiliens, feijao preto, rapporté de Rio – fin 2017, il était temps !- qui a été à l’origine de cette recette…
Pour “passer”, comme on dit au Québec, une patate douce qui restait au fond de mon placard, je l’ai faite bouillir avec le projet de la faire en salade. Mais elle a bouilli quelques minutes de trop…
Même si le soleil a l’air de vouloir revenir mais les températures ne remontent pas vraiment… Il est donc encore, de toute évidence, trop tôt pour renoncer aux soupes qui réchauffent. Et ça tombe bien…
Une petite improvisation du soir qui tourne bien et vaut la peine d’être racontée et refaite. La patate douce fondante est cuite à point et je l’ai mariée avec le tofu en bâtonnets un peu croustillant et caramélisé…
Le froid s’installe et avec lui la saison des soupes… Cette fois j’avais envie de douceur et de crémeux, et l’alliance patate douce-lentilles a fait merveille, juste rehaussée de quelques légumes parfumés -presqu’une garniture aromatique-, d’épices et de lait d’amande.
Ce weekend, quand ma cuisine était traversée par un joli rayon de soleil presque printanier, j’ai eu envie de recycler quelques rondelles de patate douce rôties au four et quelques petites chutes de patate douce et de panais trop petites pour les faire au four…en gnocchis !
Les légumes ne sont pas juste bons à être bouillis ou sautés, même si ça peut être délicieux, on oublie souvent que l’on peut les cuire au four. Et je ne parle pas de gratins… mais simplement de légumes dorés, parfumés, fondants qui se suffisent à eux-même.
Aussi surprenant que cela puisse paraître, on trouve au Vietnam de la soupe de potiron. Est-ce un souvenir de l’époque coloniale, comme de nombreux autres plats, je ne sais pas. En tout cas, elle est familière à nos palais et, pourtant, il y quelque chose qui, à n’en pas douter, est asiatique dans cette soupe. Au Vietnam on l’appelle Canh (qui veut dire soupe) bí đỏ – potiron.
Dans une maison où j’ai logé près de Hoi An au Vietnam, dans le centre du pays, un couple nous faisait une merveilleuse cuisine et le premier soir j’ai dégusté des nems, cha gio en viêt, incroyablement bons…
Au milieu des recettes de fêtes un peu riches, que diriez-vous d’une petite assiette légère, nourrissante mais bien typée ? A Bordeaux pour les fêtes, je suis allé au fameux […]