Au-delà du jeu de mots potache en titre de cette recette, je suis sûr que je la referai et elle est une de mes improvisations sucrées les plus réussies.
Rien de très compliqué, mais je voulais un mélange qui évoque la pâtisserie orientale, en un peu moins sucré et un peu plus fruité.
Oui, vous avez bien lu. Vous ne le saviez peut-être pas, mais la sauce de soja fait des miracles sur les pâtes.
Je vous ai parlé il y a quelques jours de ce mode de cuisson rarement employé pour les légumes et pourtant si délicieux : la cuisson en croûte de sel. Une belle façon de mettre la betterave en valeur…
La cuisson en croûte de sel a quelque chose de fascinant. On recouvre les ingrédients, le sel semble tout prêt à s’écrouler, on tasse. Et après la cuisson, une gangue de sel dure comme de la pierre enrobe les aliments confits, protégés et sublimés.
Pour un dîner rapide entre amis, j’ai improvisé une farce végétale à base de tofu fumé et le résultat s’est révélé au-delà de mes espérances.
J’ai déjà donné les bases d’une très bonne farce faite de protéines de soja, mais celle-ci est toute simple, rapide à faire, moelleuse et parfumée. Nouvelles preuve des multiples possibilités du tofu.
Cette idée me trottait dans la tête depuis un moment. J’avais lu distraitement différentes recettes où les aubergines (que j’adore) remplaçaient tantôt le pain, tantôt tout ou partie de la garniture. Et un beau soir venu, je me suis lancé dans des croque-monsieurs… avec des aubergines. Et c’était, même si ce n’est pas à moi de le dire, délicieux !
Parfois je fais un petit plat qui me plaît bien, mais je n’ai pas l’intention d’en faire un article. Je poste éventuellement une photo sur l’Instagram ou la page Facebook […]
Mis à part les multiple préparations du commerce (fumé, au sésame et j’en passe) il y a, pour faire simple, deux grandes catégories de tofu : le ferme (momen en japonais) et soyeux (kinu). La différence est issue du temps d’égouttage du tofu brut après caillage du lait de soja. Le tofu, au fond, c’est un peu comme de la faisselle (sans fermentation) de lait de soja.
J’ai passé le weekend en famille à Bruxelles et chez un joli primeur, il y avait des tomates anciennes tellement belles, dont quelques variétés que je ne connaissais pas, que j’en ai acheté. Je n’ai pas résisté. Elles ont pris le Thalys avec moi, emballées avec délicatesse, et je ne peux m’empêcher de les admirer depuis hier soir.
Parlons peu, parlons bien : en préparant mon dîner hier soir, j’ai fait cuire un peu de quinoa pour faire une petite salade pour mon déjeuner du lendemain (aujourd’hui, donc)… Et vraiment, le quinoa mérite d’être connu et cuisiné, d’autant plus qu’il est assez simple de le marier avec toutes sortes d’ingrédients.