Cette idée me trottait dans la tête depuis un moment. J’avais lu distraitement différentes recettes où les aubergines (que j’adore) remplaçaient tantôt le pain, tantôt tout ou partie de la garniture. Et un beau soir venu, je me suis lancé dans des croque-monsieurs… avec des aubergines. Et c’était, même si ce n’est pas à moi de le dire, délicieux !
Connaissez-vous le cobbler, ce délicieux dessert américain à base de fruits ? En parcourant le guide Lonely Planet de la Californie où Lutsubo pourrait bien s’envoler un de ces quatre, […]
Je suis toujours inspiré par les ingrédients quand je fais une recette nouvelle : j’ai acheté hier de jolies courgettes à la peau vert tendre que j’adore, et des oignons blancs superbes. A la recherche d’une idée pour le dernier bol d’un déjeuner japonais végétarien, je les ai préparés ensemble dans une recette toute simple et pourtant vraiment savoureuse…
Je vous livre aujourd’hui deux petites improvisations pour les soirs d’été, après une journée bien chaude. Je ne suis pas fan des gaspachos, galvaudés sous nos cieux par des marques […]
Non je ne pars pas en Inde. Pas encore. Mais mon improvisation culinaire m’y a emmené. Ca partait tout autrement pourtant : c’est le retour du kale. C’est encore un […]
Parfois je fais un petit plat qui me plaît bien, mais je n’ai pas l’intention d’en faire un article. Je poste éventuellement une photo sur l’Instagram ou la page Facebook […]
Mis à part les multiple préparations du commerce (fumé, au sésame et j’en passe) il y a, pour faire simple, deux grandes catégories de tofu : le ferme (momen en japonais) et soyeux (kinu). La différence est issue du temps d’égouttage du tofu brut après caillage du lait de soja. Le tofu, au fond, c’est un peu comme de la faisselle (sans fermentation) de lait de soja.
Au Japon, l’un des plat familiaux très courant est le « donburi ». Littéralement don ou donburi veut dire bol. Chaque don a son nom : par exemple celui au porc s’appelle Butadon. Je ne suis pas sûr que « seitan-don » soit un nom très orthodoxe, mais j’ai découvert en faisant quelques recherches que les bols que l’on invente avec ses propres ingrédients favoris s’appellent pāsonaru-don en japonais : bol personnel.
J’ai passé le weekend en famille à Bruxelles et chez un joli primeur, il y avait des tomates anciennes tellement belles, dont quelques variétés que je ne connaissais pas, que j’en ai acheté. Je n’ai pas résisté. Elles ont pris le Thalys avec moi, emballées avec délicatesse, et je ne peux m’empêcher de les admirer depuis hier soir.
On dirait un sorbet à la fraise, mais moins froid naturellement. La texture est crémeuse et fondante à la fois.
C’est un dessert fruité et léger pour conclure le repas sans l’alourdir, comme font les Japonais, qui servent souvent juste un fruit.